Ici, le printemps est arrivé, les choses se meuvent. Les branches ne sont plus nues, de petites tiges vertes les recouvrent désormais. Le ciel dégueule de grosses pluies sans fin. Le soleil se cache ; ses rares apparitions font voir les couleurs aubergine des huiles mélangées à l’eau des pavements gris. Les brins d’herbes se noient dans la boue.
Nous croyions à un matin de dimanche paisible, non à celui d’un lendemain de beuverie.
Friday, April 14, 2006
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment